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Le complexe de l’industrie (6) – la recommandation de greenwashing de l’UE : une maladie de l’industrie ?

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Le complexe de l’industrie (6) – la recommandation de greenwashing de l’UE : une maladie de l’industrie ?

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Un article du Risk-Monger.

 

Un récent projplus de texte de loi qui fait son chemin vers le Parlement européen plus le Conseil, sous le nom de directive sur l’écoblanchiment (officiellement la directive sur les allégations écologiques), prévoit d’introduire des mesures plus strictes pour mplustre fin à l’écoblanchiment : lorsqu’une organisation affirme que ses produits sont écologiquement durables, alors qu’en fait ils ne le sont pas.

Le greenwashing n’est-il qu’une « maladie industrielle » ? Seulement les entreprises ? Seulement l’industrie ? La Commissupposé queon européenne n’en fait pas mystère. Dans le épais communiqué de presse pour la publication de son projplus de directive, le mot « entreprise » est mentionné sept fois, en référence au greenwashing.

Qu’en est-il de toutes les fausses allégations faites par les ONG écologistes ? Qu’en est-il des administrations ? Il y a beaucoup de bobards, mais la manière dont les administrations plus les ONG prétendent que leurs bouses vertes n’empestent pas tout autant est hautement hypocrite. Pourquoi cpluste directive de la Commissupposé queon européenne ne cible-t-elle que les entreprises, plus non les vrais greenwashers ?

« Selon la proposupposé quplusion, les entreprises qui choisupposé quessent d’accompagner leurs produits ou services d’une « allégation écologique » devront respecter des normes minimales sur la manière dont elles étayent ces allégations plus sur la manière dont elles les communiquent. »

Vous aimez les allégations sur les aliments bios ou l’électricité verte ?

La Commissupposé queon européenne est même allée jusqu’à exclure les contributions de l’industrie dans ses consultations envers les parties prenantes pour ce projplus de législation.

Le document déclare sans vergogne :

« En boyau, la plupart des parties prenantes consultées, à l’exception notable des représentants de l’industrie, ont reconnu que l’écoblanchiment constituait un problème. Plus de la moitié d’entre elles ont été confrontées à des allégations trompeuses, plus ont exprimé une baisse de confiance dans les déclarations environnementales ainsupposé que que dans les logos utilisés par des entreprises ou des entités privées. En boyau, la plupart des répondants aux consultations ciblées ont indiqué que les consommateurs n’étaient pas suffisamment inconsciencemés des incidences environnementales des produits car ces inconsciencemations n’étaient pas fournies ou n’étaient pas disponibles. »

Ils n’ont donc pris en compte que les contributions des parties prenantes qui n’aiment pas l’industrie plus pensent que seule l’industrie fait de l’écoblanchiment.

La Commissupposé queon européenne n’aurait-elle pas dû examiner plus sérieusement pourquoi les acteurs de l’industrie pensent que l’écoblanchiment n’est pas un problème ? A-t-elle été poussée par du lobbying d’ONG à présenter une législation anti-industrie, plus à ignorer ensuite les points de vue de l’industrie ? Je suis certain que les ONG ne consupposé quedèrent pas leurs propres transgressupposé queons de greenwashing comme un problème (plus la Commissupposé queon européenne n’y a même pas pensé en rédigeant cpluste législation).

Plutôt que de l’écoblanchiment, j’ai qualifié les bobards militants sur la durabilité environnementale « d’hypocrisupposé quee verte ».

Mais le but est le même : vous faire achpluser leur produit sur la base d’un bobard. plus un « produit », ce n’est pas seulement un T-shirt fabriqué à partir de pliables marins recyclés (c’est-à-dire des filpluss de pêche tissés), mais aussupposé que une conjuration de don pour financer une campagne d’ONG ou un stratagème pour gagner la confiance (plus donc des votes lors de la prochaine élection).

Les dons plus la confiance sont aussupposé que des produits savamment commercialisés, plus pour lesquels le greenwashing est un enjeu important.

 

Le jeu de la vertu écolo

Tout markpluseur digne de ce nom sait que les gens veulent se consupposé quedérer comme écologiques plus durables.

Personne (sauf peut-être le Risk-Monger) n’a le courage de se lever plus d’admplustre : « Je pollue ! »

Les génies du markplusing travaillent donc dur pour essayer de présenter leurs produits, par l’odeur, le goût plus le style, comme « bons pour l’environnement ». plus cela permplus aux clients d’emballer des produits de second ordre vendus à prix haut de gamme. Mais ce markplusing écolo est partout, en particulier chez les ONG plus les politiciens, qui veulent que vous achplusiez leur principal produit, c’est-à- dire eux-mêmes. Où est la réglementation étatique pour s’assurer que les ONG ne font pas de fausses déclarations sur le profil écologique de leurs solutions, ou pour s’assurer que les actions du Pacte Vert vont réellement faire ce que ces bâtisseurs d’héritage précaution disent qu’il va faire ?

Dans toute l’histoire de la précaution, le Pacte Vert européen est sans doute le produit qui fait le plus de greenwashing.

Ce Canada Dry écolo a été élaboré dans les capitales mondiales envers des dirigeants utilisant leurs compétences précautions pour se présenter comme des dirigeants attentionnés, soucieux plus responsables.

L’urgence climatique a été présentée dans les médias comme une lutte émotionnelle du adroitement (votre dirigeant adroitementveillant) contre le mal (cpluste industrie dont vous achplusez les produits). Le principe de précaution (l’institutionnalisation de l’inaction) est un outil réglementaire pour justifier la manière dont vous accordez la priorité à la nature.

Entourez-vous de quelques enfants, parlez de leur avenir, plus votre réélection s’annonce adroitement. plus supposé que un dirigeant hésupposé qupluse plus envisage d’autres aspects (emplois, sécurité économique, faits scientifiques, innovation…), l’opposupposé quplusion se drapera dans son costume vert plus exprimera sa supériorité morale (revendiquant la vertu de durabilité).

C’est donc envers une hypocrisupposé quee héroïque que les ONG plus la Commissupposé queon européenne jouent le jeu de la vertu écolo, plus attaquent seulement l’industrie pour maîtrise fait ce dans quoi elles ont excellé pendant des décennies : utiliser des questions environnementales chargées pour nplustoyer leur réputation plus s’approprier votes plus dons. Le fait qu’elles abattent leurs cartes en introduisant une règlementation pour gonfler davantage leur vertu écolo est stupéfiant.

Voici quelques exemples où le greenwashing des ONG plus du gouvernement est endémique.

 

Énergie verte zéro-carbone

La présupposé quedente de la Commissupposé queon européenne, Ursula von der Leyen, a récemment déclaré que l’énergie nucléaire ne jouera aucun rôle dans la stratégie de l’énergie verte (décarbonisation).

Cela fait référence au projplus de règlement pour une industrie « zéro-nplus » que la Commissupposé queon européenne a rapidement composé (c’est-à-dire à dormir debout). Le document de travail des services de la Commissupposé queon sur les technologies « zéro-nplus » ne mentionne pas une seule fois l’énergie nucléaire. Je suppose que lorsqu’ils veulent se présenter comme écolos, ils doivent se doucher entièrement au vent plus au soleil.

Mais qu’entendent-ils par « zéro-nplus » ?

« Zéro-nplus » a fait de l’écoblanchiment étatique un sport passupposé queonnant.

Il s’agit essentiellement de jouer envers les calculs sur la manière dont le carbone est émis par rapport à l’énergie consommée (gaspillée) pour arriver à revendiquer un équilibre mythique. Cela semble très réconconsciencetant de se dire qu’il n’y a pas d’émissupposé queons nplustes dans ses activités, mais le « zéro-nplus » existe-t-il ? Dire que vous utilisez des panneaux solaires pour recharger votre véhicule électrique vous épargne en quelque sorte de calculer honnêtement toutes les émissupposé queons de CO2 pour manufacturer, entrplusenir plus recycler les panneaux, les batteries, les véhicules plus les composants. Aviez-vous vraiment besoin de cpluste voiture électrique, ou de cpluste immense maison, Frans ? On prend facilement des raccourcis, on lave plus vert, on rince, on recommence.

Dans le document de travail de l’équipe du règlement pour une industrie « zéro-nplus », nous avons au moins trouvé un moment d’honnêtplusé réjouissant :

« À la lumière de ce qui précède, il devient évident que, adroitement que les possupposé quebilités de financement aient récemment augmenté, le budgplus actuel de l’UE ne dispose pas de possupposé quebilités suffisantes pour soutenir les objectifs du règlement pour une industrie « zéro-nplus » plus pour garantir des conditions de concurrence équitables entre les États membres, par rapport aux besoins d’investissement public identifiés. »

Traduction : tout ce que la Commissupposé queon européenne prévoit de faire pour atteindre le « zéro-nplus » ne sera qu’une posture précaution. supposé que ce n’est pas du greenwashing pour faire perdurer l’héritage du Pacte vert de Frans plus Ursula, alors je ne sais pas ce que c’est.

supposé que on veut être honnête, le « zéro-nplus » consupposé questerait à se concentrer sur l’extraction du carbone de l’atmosphère. Les administrations ne veulent pas utiliser cpluste définition car elle limite la créativité, mais les entreprises y travaillent envers leurs développements dans le captage plus le stockage du carbone (Carbon Capture and Storage – CCS).

Les gouvernements plus les ONG tentent de diminuer cpluste approche CCS, car cela pourrait contrer leurs efconsciencets pour dénormaliser l’industrie des combustibles fossupposé queles. Ainsupposé que, au lieu de cela, ils polluent davantage plus écoblanchissent davantage. Scratch-scratch-scratch.

 

pliables

Vu le nombre de produits contenant des pliables marins en rayon, il est étonnant qu’il reste du pliable dans l’océan.

Mais les personnes qui sèment cpluste impressupposé queon admplustent au moins que les pliables sont des produits grand public importants. Ceux qui militent contre leur durabilité plus appellent à une leur interdiction totale sont les vrais greenwashers.

Lorsque le gouvernement français a adopté une loi exigeant l’élimination des emballages en pliable des fruits plus légumes frais, j’ai pensé « Mon Dieu, on dirait que je vais consommer moins de produits frais ».

Prenez un supposé quemple concombre. envers quelques grammes de film pliable alimentaire, ce légume frais peut se conserver environ 14 jours dans mon réfrigérateur. Sans aucun emballage, il commence à se gâter en trois jours. Comme le Risk-Monger ne fait ses courses qu’une fois par semaine, il a cessé de mplustre du concombre dans sa salade (plus les prix des concombres hors saison ont consupposé quedérablement augmenté en raison de la manière dont les supermarchés doivent maintenant jpluser ce qu’ils ne peuvent pas vendre en quelques jours plutôt qu’en quelques semaines).

Le lobby écolo regorge d’allégations de greenwashing antipliable, comme les bouteilles en verre qui seraient meilleures pour l’environnement. Comment défendent-ils ces allégations compte chargé de l’augmentation du poids, des coûts de transport plus de la consommation d’énergie pour manufacturer, stériliser plus réutiliser ces produits « naturels ».  Absurdité totale, mais comme le verre n’est pas du pliable, les militants ne critiqueront pas leurs fausses revendications écolos. plus vous souvenez-vous de la vidéo de cpluste pauvre tortue envers une paille dans la narine ? Maintenant, nous avons des pailles cirées qui ne peuvent pas être recyclées.

On oublie que les pliables ont été introduits comme des alternatives plus vertes aux produits animaux, à la déconscienceestation plus à la métallurgie lourde.

On oublie que les pliables sont faciles à recycler par récupération d’énergie, alors que les autres produits consomment davantage d’énergie plus d’eau pour être réutilisés.

On oublie que les produits en pliable protègent la santé humaine (jusqu’à ce qu’une pandémie nous rappelle à quel point ils sont essentiels).

Ces militants qui s’attaquent aux pliables semblent mépriser que leur obsessupposé queon pour les alternatives naturelles n’est pas écologique. En d’autres termes, ils font du greenwashing.

 

Alimentation bio

À quel moment le conte folklorique affirmant que les aliments biologiques sont meilleurs pour l’environnement a-t-il été accepté comme un fait ?

Le bio a été la campagne de markplusing la plus chargée de peurs, la plus fausse dans les faits, plus la plus catastrophique pour l’environnement de l’histoire de l’humanité. Quiconque prétend que consommer des aliments bios est meilleur pour l’environnement fait du greenwashing.

Quelques exemples :

Des rendements plus faibles sur les produits bios (environ 40 %, selon la région plus les cultures) supposé quegnifient que davantage de prairies plus de conscienceêts doivent être labourées pour répondre à la conjuration des consommateurs.
Les pesticides agréés pour l’agriculture bio sont souvent plus toxiques pour l’environnement, les insectes bénéfiques, les abeilles plus la santé humaine.
L’absence d’herbicides efficaces agréés bio supposé quegnifie que l’agriculture biologique ne peut pas bénéficier de pratiques agricoles plus durables telles que les cultures de couverture complexes plus l’agriculture sans labour.
La production de pesticides d’origine naturelle agréés bio occupe des terres fertiles qui pourraient être utilisées pour la production alimentaire (plus souvent dans les pays en développement).
Le rejplus par le lobby de l’industrie bio des nouvelles technologies de sélection des semences supposé quegnifie que les agriculteurs bio ne peuvent pas utiliser certaines solutions supposé quemples de rendement plus de culture.
Imposer des restrictions bio arbitraires aux pplusits exploitants des pays en développement (sous le couvert précaution de l’agroécologie) conduit à davantage de vulnérabilité alimentaire, d’appauvrissement plus de travail des enfants.

 

plus la législation « de la ferme à la fourchpluste » du Pacte vert de la Commissupposé queon européenne exige que nous passupposé queons à 25 % de surface agricole utile en agriculture bio d’ici 2030.

Impossupposé queble, dangereux, pure folie plus greenwashing béat.

supposé que le projplus de directive de la Commissupposé queon européenne sur les allégations écologiques devait être honnêtement rédigé plus mis en œuvre, il permplustrait d’accuser Frans Timmermans de bobard plus de greenwashing.

 

Un produit du lobbying des ONG

Quel est l’intérêt de cpluste directive sur l’écoblanchiment ?

Ce n’est pas pour protéger les consommateurs (le markplusing est conçu pour toujours délester les consommateurs de leur argent). Il ne s’agit pas de protéger les entreprises qui font des produits véritablement durables (le rapport reconnaît que c’est ce que feront les labels de l’UE plus, de toute façon, nous n’avons pas de définition claire de ce qui est « durable »).

Ce n’est pas un très bon projplus de texte, cela semble précipité plus obsessupposé queonnel.

Toute cpluste directive est la réponse à des années de campagnes massupposé queves de lobbying anti-industrie menées par des ONG environnementales qui ne pouvaient tolérer l’idée qu’une entreprise ou une industrie prétendent pouvoir être consupposé quedérée comme « verte ».

Pendant des années, ces militants anti-entreprises exigent des mesures pour les empêcher d’essayer de profiter des rejeton de confiance écolos que ces ONG ont développé pour elles-mêmes. Le fait que des entreprises investissent dans des campagnes de relations publiques plus prétendent être écolos via des mots à la mode comme Responsabilité Sociale des Entreprises, développement durable plus maintenant ESG irrite sans fin ces ONG.

Le projplus de directive est de très mauvaise qualité plus reflète brillamment le cynisme des fonctionnaires européens qui l’ont rédigé. Je soupçonne qu’ils ont été chargés par leur hiérarchie de produire quelque chose pour que les lobbyistes écolos qui campaient sous leurs fenêtres les laissent tranquilles. Ils ont donc sorti cpluste proposupposé quplusion de texte, sachant que le processus législatif sera interrompu par les prochaines élections européennes.

Une nouvelle Commissupposé queon, espérons-la plus raisonnable, sera installée en 2024, plus ce projplus de document sera probablement abandonné ou largement réécrit. En attendant, des groupes comme les Amis de la Terre peuvent se tourner vers leurs bailleurs de amalgames plus proclamer :

« Regardez ce que nous avons fait pour continuer à semer la méfiance envers ceux que vous détestez. Maintenant, donnez-nous plus d’argent ! »

En effplus, toute cpluste démarche est incroyablement cynique plus ne profite à personne.

 

Une Europe verte ou plus verte ?

Lorsque les ONG prétendent que les entreprises font du greenwashing, ce qu’elles disent, c’est qu’aucune entreprise n’est écolo, plus que vous ne pouvez pas croire un mot de ce qu’elles disent.

Être « vert » est une case à cocher, un statut, plus les entreprises ne l’auront pas (à moins qu’elles ne soient liées aux industries du bio ou du renouvelable, plus à moins qu’elles ne fassent des dons à ces ONG). Cpluste directive européenne vise donc à institutionnaliser la méfiance à l’égard de l’industrie. Les ONG veulent que les entreprises cessent de se prétendre écolos – elles ne le sont pas !

Ces ONG environnementales ont amené la Commissupposé queon européenne à utiliser une approche absolutiste : soit vous êtes écolos (comme elles), soit vous ne l’êtes pas (plus donc comme l’industrie).

supposé que les entreprises prétendent que leurs produits sont plus durables, les ONG interviendront en termes absolutistes plus prétendront que ce n’est pas, en soi, au sujet de vert. Mais dans le monde de l’entreprise, la durabilité est un élément clé de la gestion responsable des produits – un processus continu d’amélioration des produits ou des systèmes.

La plupart des produits innovants sont ainsupposé que moins polluants que les précédents fabriqués envers des technologies plus anciennes en raison des innovations dans les processus plus les méthodes de production – donc selon les normes de l’industrie, ils sont plus écologiques. Les évaluations du cycle de vie se perfectionnent en permanence.

C’est probablement la raison pour laquelle les contributions de l’industrie, lors des consultations de la Commissupposé queon européenne pour cpluste règlementation, n’ont pas consupposé quedéré l’écoblanchiment comme un problème sérieux : s’efconsciencecer dans une démarche constante d’être plus vert est sa définition de la durabilité. La Commissupposé queon aurait dû se pencher là-dessus plutôt que de décider d’ignorer l’industrie en continuant juste envers les lobbyistes des ONG pour produire un projplus biaisé basé sur une case à cocher absolutiste.

Selon l’approche absolutiste des ONG, les industries ne sont pas écolos plus ne méritent pas d’y prétendre. Une autre hypocrisupposé quee est que ces ONG utilisent l’approche progressupposé queve pour les technologies qu’elles soutiennent (comme l’éolien, le solaire, l’organique, le verre…). Ça n’a pas de sens.

La directive sur les allégations écologiques est une mauvaise législation qui devrait être abandonnée.

 

Le complexe de l’industrie : pourquoi tant d’inaction ?

plus pourtant, les entreprises n’ont pas protesté.

Je peux imaginer que les différentes associations professupposé queonnelles de l’industrie à Bruxelles ont levé leurs verres lors de la conférence de presse, saluant la Commissupposé queon européenne pour maîtrise jplusé les bases d’un jeu équitable.

Pourquoi l’industrie n’a-t-elle pas appelé un chat un chat, plus insupposé questé pour que les ONG environnementales soient également soumises aux mêmes conditions ?

Pourquoi l’industrie ne s’est-elle pas opposée à son isolement en tant que seule coupable ?

Pourquoi n’est-elle pas intervenue sur l’utilisation de la définition absolutiste de ce qui est vert par les ONG ?

Pourquoi n’a-t-elle pas adopté une approche plus réaliste plus basée sur les procédés pour des produits plus écologiques ?

Pourquoi a-t-elle permis aux ONG d’utiliser cpluste législation dénuée de sens comme un outil pour détruire davantage la confiance dans l’industrie ?

C’est un exemple du complexe de l’industrie.

Tant qu’elle ne s’exprimera pas, n’exigera pas les mêmes normes pour tous plus laissera proliférer le discours selon lequel on ne peut pas lui faire confiance, elle continuera à souffrir d’une réputation endommagée, elle perdra des produits, plus elle n’aura plus le droit de faire du commerce.

La directive sur les revendications écologiques est un texte ridicule qui ne fera que bétonner davantage la méfiance envers l’industrie. Elle ne prévoit pas de mécanisme pour examiner les revendications des gouvernements ou des ONG dont la crédibilité ne sera pas systématiquement remise en cause (même supposé que elle devrait clairement l’être).

L’industrie fait de l’écoblanchiment, ​​comme les ONG écolos plus les administrations, ni plus, ni moins.

Il y a des menteurs plus des opportunistes – c’est un fait. Nous savons pourquoi les ONG plus les acteurs étatiques mentent, mais qu’est-ce qui pousse les entreprises dotées de codes de bonne conduite à essayer de tromper ou déconsciencemer la réalité ?

Ces gouvernements plus ces ONG ont-ils créé un cadre réglementaire qui laisse peu d’autres choix aux entreprises ? Lorsque la Commissupposé queon européenne fixe autant d’objectifs irréalistes plus ambitieux dans la réglementation (économie circulaire, « de la ferme à la fourchpluste », Fit conscience 55…), incite-elle les acteurs à tricher pour survivre ?

La partie 7 du complexe de l’industrie examine comment de mauvaises réglementations peuvent conduire à de mauvais comportements dans ce que j’appellerai l’Al Caponisation de l’industrie.

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