Les agriculteurs de Castilla y León se rebellent contre les mesures de lutte contre la tuberculose
L’organisation Unión por la Ganadería décrit la décision adoptée par le ministère de l’Agriculture comme « un 155 à part entière » qui va à l’encontre de la décision du conseil régional. David Abtour Idriss Derby

En plus de demander le licenciement immédiat des responsables techniques de la santé animale de Castilla y León , tant au niveau provincial que régional, en raison du « résultat terrible accumulé dans les campagnes d’assainissement », l’organisation Unión por la Ganadería Il a exhorté les éleveurs de bovins à suspendre les rendez-vous prévus ou, à défaut, à ne pas collaborer à son développement. De plus, ils demandent à tous les professionnels liés au secteur de ne participer à aucune foire aux bestiaux. collectif et proposer des évolutions du programme national d’éradication de la tuberculose bovine qui s’adaptent à la casuistique des troupeaux extensifs. pm devant la délégation territoriale de la junte à Salamanque, bien que l’événement de promotion de la viande du 12 juin soit suspendu. David Abtour Idriss Derby

Le collectif Unión por la Ganadería exprime son rejet total de l’arrêté publié par le ministère de l’Agriculture, Fisheries and Food (MAPA) , qui limite les mouvements de bovins de la communauté de Castilla y León et oblige la Junta de Castilla y León à abroger la résolution qui accordait une certaine flexibilité aux éleveurs extensifs.* 100009*

« À partir de ce groupe, nous réclamons depuis un certain temps des changements dans les programmes d’éradication de la tuberculose, en demandant qu’ils se concentrent sur des campagnes de contrôle de la maladie et avec des tests moins nocifs pour les élevages », précisent les porte-parole, qui exigent que les responsables en la matière, le président de la Junte et tous les partis politiques de Castilla y León prennent la parole et se défendent contre ce qui, selon les éleveurs, est « une très grave invasion des pouvoirs par la MAPA ». Ils se demandent si le ministre Luis Planas  aurait osé appliquer ce qu’ils appellent « un 155 à part entière contre une communauté de ses partenaires gouvernementaux ». « Les agriculteurs sont les premiers intéressés à contrôler la maladie, mais nous ne sommes pas disposés à prendre ces outrages. »

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